Vers L'Infini et Plus Loin Encore!

Au moins nous auront une bonne nouvelle pour l’année 2008. La police de Montréal n’a jamais recensé aussi peu d'homicides sur son territoire depuis 1972. C’est semaine dernière qu’on a recensé les 22e, 23e et 24e homicides de 2008.

La moyenne annuelle des meurtres pour les 36 dernières années est de 65, donc ont peut dire que la police a de quoi se réjouir. Déjà l’année passé ont avait remarqué une baisse significative avec 41 homicides, mais cette année, le record de 2005 pourrait bien-être brisé avec seulement 35 homicides.

D’habitude, selon le service de police, une année qui compte moins d’homicides compte généralement plus de tentative de meurtres. Cependant, cette année, le SPVM compte seulement 59 tentatives, soit deux fois moins que la moyenne des 10 dernières années.

Une des explications possibles de cette baisse est que les motard et les gangs de rues sont moins présents à Montréal. Cette année seulement 7 des 24 homicides sont directement liés aux gangs, contre 14 sur

41 l

Les autres sont du à d’autre causes. Cinq sont des crimes familiaux, deux des crimes passionnels, deux sont liés au trafic de stupéfiants. Il y a aussi un vol, une querelle, deux règlements de comptes, un crime lié à la mafia, une mauvaise administration de médicament et deux causes inconnues.

Par ailleurs, on souligne aussi que la criminalité est en baisse constante en Occident. Cela serait du au vieillissement de la population, à la situation économique favorable et au technique de détection plus perfectionnées.

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L’hiver est bel et bien commencé. Avec la première tempête de neige qui a eu lieu mardi et mercredi passé, la saison du déneigement a officiellement débuté. Et comme a chaque année, la ville a été paralysée sous la première chute de neige.

Cette tempête est dû a une dépression qui s'est formée au sud des Grands Lacs. Elle a touché Montréal mardi tôt en mâtiné. C’est en après-midi, vers 16h que les précipitations de neige ont été les plus forte, et déjà, à 19h, la région métropolitaine était enterrée sous

18 cm

Un cauchemarde pour les automobilistes! Tout ça a provoqué des bouchons de circulation interminables, des carambolages, des sorties de route, des accrochages et même des accidents graves. Sans parler des tous les retards qu’ils ont occasionné par la suite. Un grand nombre de personnes sont resté coincé pendant des heures sur les routes du Québec, faisant leur trajet habituel qui leur prendrait naturellement pas plus de 30 minutes. Même Opération nez rouge a décidé de suspendre ses activités pour la soirée!

Ceux qui ont voulu éviter le trouble de la route en utilisant le transport en commun n’ont pas été plus chanceux.

La Société

L'aéroport Montréal-Trudeau, lui, est resté fonctionnel. Cependant, une quarantaine de vols ont du être annulés, mais principalement en raison des conditions météorologiques des autres aéroports.

Plusieurs se sont plein du service de déneigement, qui encore une fois c’était affirmer près pour la tempête, mais qui finalement n’a pas été assez efficace. Même après 36 heures, la rue Papineau n’avait pas fini d’être complètement déneigée.  On espère que les services s’amélioreront avant la fin de l’hiver. Cependant, il faut dire que la ville a reçu presque le double de neige annoncée, et la situation n’a été qu’empiré par la pluie et le grésil.

Par contre, Montréal n’a pas été la seule ville de touchée. La dépression a ateint toute la région du Québec et de l’Ontario. Les Laurentides, Lanaudière,

la Mauricie

Une autre cause du si grand ralentissement sur les routes était les voitures sans pneu d’hiver. Rappelons aux retardataires qu’ils ont jusqu’à lundi prochain, le 15 décembre, pour faire poser leurs pneus d'hiver, faute de quoi ils pourraient se retrouver avec une contravention de 200$ à 300$.

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Après plusieurs recherches, la police indienne pense avoir retracé un des responsable des attentats de Bombay qui ont fait la semaine dernière au moins 188 morts. Ses attentats sont attribués au groupe Lashkar-e-Taïba basé au Pakistan.

Yusuf Muzammil, chef des opérations terroristes contre l'Inde au sein du groupe, a été identifié comme le cerveau des attentats perpétré par Ajmal Kasab, le seul des attaquants à avoir été capturé vivant. Selon la version officielle, dix hommes, qui étaient venus en majorité par la mer d'Arabie, ont attaqué Bombay la semaine dernière. Il auraient naviguer sur un chalutier indien, le Kuber, capturé plus tôt en haute mer.

La série d'attaques auraient été menées par deux adjoints de Muzammil et ils ont pris pour cible deux hôtels de luxe, une gare de chemin de fer, un grand café et un centre religieux juif orthodoxe. Cette séries d’assauts a causé 188 morts et près de 300 personnes ont été blessées.

On aurait découvert le nom du responsable ceux de quatre militants présumés sur un téléphone satellitaire abandonné sur le bateau de pêche volé.

Le Lashkar-e-Taïba, un des mouvements islamistes clandestins pakistanais qui veulent lutter contre l'a présence indienne au Cachemire où la minorité musulmane selon eux est persécuté, est le suspect numéro 1 dans les attaques de Bombay.

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En cette période d’instabilité économique, le maire de Ville-Marie, Benoit Labonté, a décidé, que les parcomètres de son arrondissement seront gratuits du 20 au 28 décembre. Il demandera aussi au comité exécutif de Montréal de rendre le transport en commun gratuit du 23 au 26 décembre.

Suite à l'annonce récente du maire Gérald Tremblay de prolonger les heures d'ouverture des commerces du centre-ville jusqu'à 20h la fin de semaine, le maire Benoit Labonté, lui aussi a voulu créer un incitatif commercial poyur essayer de surpasser la crise économique.

L'arrondissement compte en tout 7500 parcomètres qui deviendront bientôt gratuits, excepté ceux du parc du Mont-Royal. Le maire a évalué que le montant rapporté par les parcomètres de l'arrondissement pour huit jours à Stationnement de Montréal est d’environ 800 000 $. Alors, la perte pour Ville-Marie sera de 100 000 $ à 150 000 $.

L'arrondissement de Rosemont-La Petite Patrie, qui lui aussi a voulu prendre des mesures, a décidé de permettre aux automobilistes de payer le même prix, après 18h, pour 3 heures au lieu de 2 heures de stationnement. Cette solution moins couteuse, a pour but que les consommateurs fréquentent plus longtemps restaurants et commerces du quartier.

Cependant, pour

la Société

Peut-être cela remettra les consommateurs dans l’esprit de Noël et leur donnera envi d’aller magasiner malgré la crise.

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Après tous les évènements qui se son passé autour de l’incident de cet été à Montréal-Nord, aucune accusation criminelle ne sera portée contre le policier qui a causé la mort de Fredy Villanueva. Cependant, le ministère de la Sécurité publique a demandé une enquête publique «pour rassurer la population», mais qui en vérité serait plus pour éviter des émeutes.

La Couronne a conclu finalement que l'agent de police Jean-Loup Lapointe et sa collègue Stéphanie Pilote avaient simplement fait leur devoir. L'enquête publique ne démentira pas nécessairement cette conclusion, pourra toutefois émettre des recommandations au gouvernement, à la Ville de Montréal ou au service de police.

L’enquête faite par la sécurité du Québec qui contenait un rapport de 1060 pages accompagné de deux CD, a été étudier pendant plus d’un mois par la Couronne.

Les six procureurs de la couronne sont arrivé à la conclusion que les agents étaient justifiés dans l’acte d’interpeller le groupe de la victime et de procéder à l'arrestation de son frère, Dany Villanueva. La Couronne a aussi conclu que l'agent Lapointe était «justifié d'utiliser la force mortelle dans les circonstances».

L'un des procureurs, François Brière, a exposé hier soir la version des faits confirmée par les deux policiers, des experts, des témoins, des membres du groupe et deux vidéos. Le 9 août 2008, vers 19h10, deux agents du Service de police de la Ville de Montréal patrouillait à bord d'un véhicule et ils sont allés dans le stationnement public situé entre le parc Henri-Bourrassa et l'arrière de l'aréna et centre communautaire Henri-Bourrassa, rue Rolland, dans l'arrondissement Montréal-Nord.

Ils ont interpellé six individus puisqu'ils jouaient aux dés, contrevenant ainsi à un règlement municipal. Le policier demande donc aux personnes présentes de demeurer sur place. Les personnes obtempèrent, à l'exception d'une.

En sortant du véhicule, le policier interpelle directement la personne qui tente de s’enfuire. Il ordonne ensuite aux individus de bien vouloir s'identifier. Il apprend donc, que la personne qui cherchait à quitter les lieux est Dany Villanueva. Il revient finalement vers le policier en gesticule agressivement et en criant plusieurs fois qu'il n'a rien fait.

Le reconnaissant comme étant membre actif d'un gang de rue, à savoir les Blood, et ayant des antécédents de violence et de démêler avec la justice, le policier est préoccupé par le fait qu'il puisse dissimuler une arme sur lui.

Il devient alors urgent pour le policier de maîtriser l'homme pour assurer sa sécurité et de garder le contrôle de la situation. Il tente alors de l’amener au sol afin de le déstabiliser et de mieux pouvoir le maîtriser. L'homme se débat toujours avec énergie, et même certains membres du groupe, dont le frère de Dany Villanueva, Fredy Villanueva, commence à intervenir verbalement et physiquement auprès des policiers.

Dany Villanueva frappe alors le policier en plein visage. De son coté, Fredy Villanueva, tente de saisir l'agent Lapointe par le cou et dirige sa main vers le ceinturon du policier. Finalement, l'agent Lapointe, qui craignait d'être désarmé, a tiré à quatre reprises devant lui.

Ceci était la version officielle des évènements selon la Couronne.

Plusieurs personnes insatisfaites du résultat de l’enquête, on accueilli avec enthousiaste l’enquête publique qui sera effectuée sur les circonstance de l’incident. Elles croient primordial que le juge tienne en compte de la pauvreté vécue par les jeunes du secteur qui avaient le sentiment d'être méprisés par les policiers. Selon elle, ce n'est qu'à cette condition que la population sera en mesure de comprendre ce qui s'est vraiment passé ce soir-là.

De leur côté, déçue des conclusions de l'enquête policière entourant la mort de Fredy Villanueva, la famille de se dernier intentera une poursuite contre la Ville de Montréal, les deux policiers impliqués dans l’affaire ainsi que la Fraternité des policiers et policières de Montréal.

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Après avoir connu un grand succès, entre autre aux Philippines, la campagne mondiale d’Amnesty International contre la peine de mort, se concentre maintenant en particulier sur l'Inde, la Corée du sud et Taiwan.

L’année passée, Amnesty International a contribué à rassembler des avocats, des militants, des parlementaires et des groupes de défense des droits humains de 21 pays pour former le Réseau asiatique contre la peine de mort et constituer ainsi un front régional uni contre ce châtiment.

Cette année, l’ONU espère pouvoir faire un pas supplémentaire et maintenant d’appliquer ce que cette organisation visait, en demandant aux dirigeants d'Asie de revisité leur code pénal.

Beaucoup de condamnations à mort continuent à être prononcées pour toutes sorte d'infractions et des personnes sont exécutées après des procès qui sont en général inéquitables. Amnisty dénonce aussi le manque terrible de transparence sur l'utilisation de la peine de mort.

Amnesty soulignant que déjà, deux-tiers des pays ont aboli la peine de mort , mais que quand même au moins 1252 personnes ont été exécutées en 2007.

88% des exécutions ont été faites dans les cinq pays suivants : la Chine se retrouve au premier rang avec au moins 470, ensuite l'Iran (317), l'Arabie saoudite (143), le Pakistan (au moins 135) et les Etats-Unis (42). Au moins la moitié des exécutions ont été pratiquées en Asie, soit 664 où encore , quatorze pays pratiquent toujours la peine de mort. Cependant, 24 l’ont déjà aboli, par la loi ou dans la pratique.

Toutefois, même si la peine de mort est encore en fonction et que des condamnations à mort ont été prononcées dans les trois pays principalement visés en 2007, aucune exécution n'a été effectuée en Inde depuis 2004, en Corée du sud depuis 1997 et à Taiwan depuis 2005.

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Depuis la formation de la coalition lundi passé par les partis d’opposition, le premier ministre Stephen Harper essaie de reprendre le contrôle de la situation à Ottawa et de remettre en confiance la population, pour les empêcher de prendre le pouvoir.

L'opposition accuse les conservateurs d'être à l'origine de la crise et c’est cela qui les a décider que c’était le moment de renverser le gouvernement puisqu'ils n'ont présenté aucun plan pour stimuler l’économie, dans l’énoncé économique  du ministre des Finances, Jim Flaherty, jeudi dernier

Le gouvernement Harper a décider d’y apporter quelques changements, entre autre en retirant sa proposition d'abolir les subventions aux partis et en avançant la date du budget au 27 janvier. Cependant, cela n'a pas été suffisant pour calmer les partis d'opposition.

Conclu entre le Parti libéral, le NDP et soutenu par le Bloc québécois, cet accord historique, s’il est accepté par la gouverneur générale, entraînera la formation d’un gouvernement de coalition dirigé pendant au moins cinq mois par le chef libéral démissionnaire Stéphane Dion.

Lundi soir, dans un hôtel du centre-ville d'Ottawa pour une soirée organisée pour le temps des fêtes, M. Harper a promis à quelque 600 de ses partisans qu'il n'a pas dit son dernier mot. Il leur a affirmé qu’il allait prendre tous les légaux pour arrêter cette tentative de l’opposition de prendre le pouvoir et que sa toute première responsabilité était de s’assurer que les intérêts du Canada soient protégés.

Plusieurs de ses députés l'ont encouragé à proroger la session pour ne faire revenir les députés en Chambre qu'en janvier prochain, afin d'éviter que le gouvernement conservateur ne soit renversé lors du vote de confiance.

D'autres encore, ont fortement recommander au premier ministre de prononcer un discours à la nation durant les grandes heures d'écoute, pour expliquer aux Canadiens que du projet de coalition entre les libéraux, les néo-démocrates et les bloquistes est tout a fait inacceptable et ne va causer que du tort au pays, car le parti libéral n’est pas près à gouverner en temps de crise.

Par contre, pour proroger la session, le gouvernement doit avoir l'accord de la gouverneure générale, Michaëlle Jean, qui est actuellement en voyage en Europe. C'est également elle qui peut autoriser la création d’un gouvernement de coalition et de donner l’accord au chef de l'opposition, Stéphane Dion, de former un nouveau gouvernement.

On ignore, cependant si pour l'instant Mme Jean et M. Harper se sont parlés récemment au sujet de la crise.

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Récemment, nous avons visionné en classe un documentaire sur l’entreprise Monsanto et sur l’influence qu’elle à exercé sur la société. Il a été réalisé par Marie-Monique Robin, et à été diffusé sur Arte le 11 mars 2008. Ce documentaire a été coproduit par Arte France, Image et Compagnie, Productions Thalie, l’Office national du film du Canada et WDR. Malgré le fait que certains passage du film était un peu complexe et qu’il s’adressait sûrement à un public un peu plus documenté, son contenu ma tout de même intéressé.

Le film documentaire montre le déroulement d’une enquête, exécutée par la réalisatrice du film, qui met en cause la multinationale Monsanto. Créé au début du siècle par John Francis Queeny, elle est maintenant le leader mondial en biotechnologie, en détenant plus de 90% de la production planétaire des OGM. Elle se spécialise aussi dans la production d’hormones de croissance, de l’herbicide Roundup, du PCB et de l’aspartame. Entreprise des plus controversé, elle a été à plusieurs reprise accusée d’avoir caché les nombreux effets néfastes de ses produits sur l’environnement et sur les êtres humains.

Dans le documentaire, on nous parle entre autre du problème de la pollution au PCB due à une entreprise de Monsanto à Anniston en Alabama. On reproche à Monsanto d'avoir caché les effets nocifs des rejets de PCB pour ne pas perdre d'argent. Un pourcentage énorme des habitant se son retrouvé atteint de cancer et le femmes donnent maintenant naissance à des enfants avec un QI inférieur à la moyenne. On parle aussi du Roundup et de la publicité mensongère entourant cet herbicide supposément biodégradable et non nocif. On abord aussi le sujet du contrôle mondial des OGM par Monsanto et qu’aucune réglementation ne les entoure. On traite aussi du cas du Prosilac, une hormone bovine servant à augmenter la production, mais qui cache des effet secondaires très nocifs. Ensuite, le reste du documentaire nous expose les nombreux cas de corruption qui relie la FDA et Monsanto.

Contrairement à plusieurs personnes dans ma classe, j’ai trouver ce documentaire très intéressant. On voit bien que Marie-Monique Robin c’est bien informée et qu’elle s’est investie à fond dans son projet. Peut-être que certains passages requéraient un peu plus de connaissance générale concernant la production agricole et la biotechnologie, mais globalement, les notions étaient bien expliquées. Cependant, j’ai trouvé que quelques mises en scènes étaient de trop. Le documentaire aurait été tout aussi pertinent sans qu’on la voit chercher des informations sur Google à chaque cinq minutes. Toutefois, je crois qu’il serait important que ce documentaire soit visionné par le plus grand nombre de personnes pour qu’on commence enfin à réaliser l’ampleur de la situation.

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Après les élections fédérales qui ont finalement changé peu de choses, c'est maintenant au tour de Jean Charest de déclencher des élection au provincial. Maintenant, chaque chef de parti essaie de se démarquer les un des autres par des promesse que tout le monde sait, ne tiendront surment pas.

Lundi, Jean Charest a fait un virage complet d’opinion, disant que s'il est réélu, que les deux premiers essais d'implantation d'embryons allait être payer par la Régie de l'assurance maladie (RAMQ). Pendant ses deux premiers mandats, son gouvernement a prétendu que l'infertilité des couples n'était pas une maladie et qu'avoir des enfants n'était pas un droit.

M. Charest a aussi promis de verser des primes de 3000 $ aux nouvelles infirmières et de 2000 $ aux nouvelles infirmières auxiliaires pendant les trois premières années de leur service afin de les attirer dans le réseau public. Il a aussi promis un boni de 8000$ par année aux infirmières de plus de 35 ans d'ancienneté afin de les retenir dans le réseau. Il veut également de augmenter le nombre de Groupes de médecine familiale de 178 à 300.

Le chef de l'ADQ, Mario Dumont, a de son côté vivement réagi à la promesse de Jean Charest de venir en aide aux couples ne pouvant pas avoir d’enfants. M. Dumont a rappelé que le deux deux autre partis de l’opposition, l’ADQ et le PQ étaient tous deux en faveur de cette aide aux familles infertiles, mais que les libéraux avaient systématiquement bloqué leurs propositions. Il a accusé publiquement Jean Charest de manquer d’honneur.

M. Dumont dévoilait aussi les engagements qu’il a prit en matière de sécurité publique, qui sont en fait très conservateurs. Il promet ente autres l'embauche de 400 nouveaux policiers à la Sûreté du Québec pour répondre à l'augmentation du nombre de véhicules sur la route et à satisfaire davantage les besoins des municipalités rurales. Il propose également des peines plus sévères pour les récidivistes de conduite en état d’ébriété et de créer un registre public des délinquants sexuels dangereux.

Il veut aussi s’attaquer à la cybercriminalité, en y affectant plus de policiers, invoquant notamment les sécurité des enfants, et à la lutte contre les gangs de rue.

De son côté, la chef péquiste Pauline Marois a dévoilé un programme très axé sur l’éducation. Plusieur y noteront de forte ressemblance avec le progeamme des libéraux, mais Mme Marois affirme que cette ressemblance s'explique par le fait que plusieurs éléments, par exemple de réduire de 20 pour cent nombre d'élèves par classe, sont accepter parce qu'ils sont pertinents.

Cette mesure, visant d'abord les milieux défavorisés, nécessiterait l'embauche de 1000 nouveaux enseignants, a dit Mme Marois.

De plus, Mme Marois s’oppose à l'enseignement de l'anglais dès la première année du primaire, car selon elle, une heure par semaine est insuffisante. Elle privilégie dans son programme l'immersion anglaise plus tard dans vers la fin du primaire.

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Après la rude défaite que Stéphane Dion à encaissé le soir des élections, les membres son parti lui a bien fait comprendre que s’il ne décidait pas par lui-même de se retirer ils allaient devoir lui montrer la porte d’une façon moins agréable.

Avec une entente avec le parti, qui lui fournirait les quelques 200 000$ qui lui restait à rembourser suite à la course à la chefferie de 2006 Stéphane Dion a laissé tomber son poste et à décider de partir de lui-même, la tête la plus haute qu’il pouvait… Donc, depuis, la course à la direction du parti Libéral est enclenchée.

Qui lui succédera? Même si ce n’est pas les candidats potentiels qui manque, la personne qui pourra peut-être sauver le parti Libéral sera difficile à trouver. La tache sera dure et nous espérons que cette fois-ci, ils feront le bon choix, pour peut-être réussir à trouver un candidat auquel les électeurs pourrons de nouveau faire confiance.

Donc, dans la longue liste des candidats potentiels, il y a évidemment les deux anciens adversaires de Stéphane Dion, Michael Ignatieff et Bob Rae, sans doute les plus crédibles de cette course. Ayant été défaits par Dion en 2006, par on ne sait quel phénomène,  ils sont toujours dans la course.

Premièrement, il y a Michael Ignatieff, que tout le monde voyait très bien comme chef de parti. Ayant des appuis solides, surtout au Québec, il était favori en 2006, mais sa défaite lui fait perdre plusieurs partisans. Cependant il reste toujours un candidat très crédible avec de l’expérience qui saurais peut-être raviver la flamme du parti.

Bob Rae, lui de son côté, est resté dans l’entourage de Stéphane Dion et donc, pourrait permettre  transition en douceur. Cependant, il a un gros point faible,  son passé d'ex-premier ministre néo-démocrate en Ontario. Comme les libéraux sont déjà faible dans cette province, on craint que cela élimine toutes les chances restantes du parti.

Il y aurait aussi Mme Hall Findlay, qui a récolté un grand succès d'estime lors de la dernière course à la direction. Bilingue, jeune et brillante, elle serait aussi la seule femme dans cette nouvelle course. Martin Cauchon, aussi de son côté, ancien ministre et protégé de Jean Chrétien, pense sérieusement à entrer dans la course.

John Manley, ancien ministre libéral, serait aussi interessé par le poste. Bilingue et expérimenté, il s'est toutefois mis a dos beaucoup d’ ex-collègues en acceptant de diriger, à la demande de Stephen Harper, une commission sur la mission canadienne en Afghanistan.

Cette course sera pour la moins intéressante, espérons seulement que cette fois-ci les libéraux prendront la bonne décision.

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